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Le Bac Pro Gestion des Milieux Naturels et de la Faune Un engagement concret pour la nature, une formation qui donne du sens
À la MFR des Vallons de Vilaine, le Bac Pro GMNF n’est pas seulement une formation : c’est un choix de vie, un projet humain, et une mission pour protéger les milieux naturels qui nous entourent.

Seule formation de ce type en alternance en Bretagne, elle permet aux jeunes de s’engager dès maintenant dans les métiers qui comptent pour l’environnement.

Une formation profondément humaine

Ce qui distingue notre Bac Pro GMNF, c’est avant tout la relation : entre les formateurs et les élèves, entre les jeunes eux-mêmes, et entre la formation et le milieu naturel local.
À la MFR, chaque apprenant est accompagné individuellement. Le rythme alterné permet d’adapter les enseignements aux progrès de chacun.
  • L’ambiance est chaleureuse, bienveillante, où la nature est vécue quotidiennement : on apprend à observer, respecter, soigner, et agir.
  • Parce que la nature ne s’enseigne pas seulement dans les livres, nous privilégions les chantiers en extérieur, les partenariats avec des structures locales, les classes “nature” sur le terrain, et les activités pratiques — biomonitoring, restauration d’habitats, suivi faunistique et floristique.

Une formation d’alternance unique en Bretagne

  • La MFR de Messac offre le seul Bac Pro GMNF en apprentissage (ou sous statut alternant) en Bretagne, ce qui permet de concilier théorie et immersion professionnelle dès le début.
  • Le dossier de formation intègre des périodes en entreprise, des travaux pratiques nombreux, des projets de terrain qui exigent une implication réelle et personnelle. 
  • Ce parcours exigeant requiert sérieux, autonomie, curiosité, mais offre en retour un diplôme reconnu et des compétences directement mobilisables. Les titres professionnels sont en liaison avec les compétences attendues dans les métiers de la nature. 

Au cœur du territoire : la vallée de la Vilaine comme terrain de jeu et d’apprentissage

La Vallée de Vilaine, ses marais, ses prairies humides, ses rivières, forêts, zones naturelles protégées offrent un terrain d’étude exceptionnel.
  • Nos élèves interviennent sur des sites Natura 2000 (comme les Marais de Vilaine) pour comprendre les enjeux de biodiversité, de protection des espèces, et de gestion durable des milieux. 
  • La nature locale ne sert pas seulement de cadre : elle est au cœur des projets pédagogiques : inventaires, restauration, suivi écologique, animations nature, prise en compte des impacts climatiques.
  • Les savoir-faire développés incluent la cartographie, les diagnostics écologiques, la gestion d’espaces sensibles, la restauration d’écosystèmes, l’accueil du public et la sensibilisation. Tous des métiers qui “protègent la nature”.

Des débouchés clairs : vers le BTS, vers la vie active

Le Bac Pro GMNF prépare efficacement à la poursuite d’études : notamment le BTSA Gestion et Protection de la Nature (GPN), qui permet d’approfondir les compétences naturalistes, la conduite de projets, la médiation scientifique, etc. 
Pour les jeunes qui choisissent d’entrer dans la vie active, les métiers sont nombreux : technicien en espaces naturels, animateur nature, agent en collectivités territoriales, surveillant de milieux naturels ou faune, gestionnaire de réserve, etc. La formation rend les élèves opérationnels dès la sortie. 

Un projet de formation qui demande de l’engagement… et offre beaucoup en retour

Cette formation n’est pas “facile” : elle exige une rigueur scolaire, une curiosité constante, une capacité à travailler dehors, parfois dans des conditions exigeantes (météo, terrain). Elle réclame aussi de l’investissement personnel : se déplacer, être actif dans les projets, proposer, s’impliquer.
Mais ce qu’elle offre, en retour, c’est énorme :
  • le sentiment de faire une vraie différence, de contribuer à protéger la nature,
  • la valorisation de compétences rares et recherchées,
  • des opportunités d’études supérieures solides, notamment via le BTSA GPN,
  • et surtout, une formation qui “a du sens” : pour soi, pour la nature, pour demain.

Un symbole d’espoir et de responsabilité

À la MFR de Vallons de Vilaine, le Bac Pro GMNF incarne ce à quoi nous croyons : qu’apprendre, c’est aussi s’engager. Que la protection des milieux naturels ne soit pas simplement une matière, mais une priorité concrète. Que chaque jeune formé ici soit prêt non seulement à agir, mais à comprendre, à anticiper, à transmettre.
« Nous ne formons pas seulement des futurs techniciens : nous formons des passeurs de nature, des acteurs qui prendront soin de ce patrimoine précieux. »
 

Un rendez-vous hebdomadaire au service de la réussite des jeunes
Chaque vendredi, l’équipe de formateurs de la MFR des Vallons de Vilaine se réunit autour d’un outil central : le carnet de liaison.

À travers cet outil, les élèves de Bac Pro Aménagements Paysagers et de Bac Pro Gestion des Milieux Naturels et de la Faune réalisent une autoévaluation en lien avec l’objectif qu’ils se sont fixés en début de session.

Ce moment permet aux formateurs de :
  • Prendre connaissance du regard des jeunes sur leur propre progression
  • Mettre en avant les réussites individuelles et collectives
  • Identifier, si nécessaire, des axes d’amélioration pour aider chacun à avancer
  • Harmoniser le niveau d’information éducatif et pédagogique de toute l’équipe
Au-delà du suivi, cette rencontre hebdomadaire est un temps de partage et de cohérence. Les formateurs échangent leurs observations, trouvent ensemble des solutions adaptées et définissent un discours commun vis-à-vis des jeunes et des familles.
Un rendez-vous dans lequel le directeur peut également s’associer, renforçant ainsi la cohésion et la dynamique collective.
Ce rituel illustre pleinement nos valeurs : engagement, accompagnement, réussite. Car à la MFR, nous croyons que chaque élève a du potentiel, et que c’est en travaillant main dans la main que nous l’aidons à le révéler.

 

La classe mobile La modernité au service des apprentissages à la MFR
À la MFR de Messac, nous croyons qu’apprendre aujourd’hui, c’est aussi savoir utiliser les outils numériques de demain.

Grâce au déploiement de la fibre optique et d’un wifi performant, l’établissement s’est doté d’une classe mobile, véritable salle informatique transportable qui accompagne les jeunes dans toutes leurs activités.

Une salle informatique qui se déplace

Fini la salle fixe : désormais, les ordinateurs viennent à la rencontre des élèves. Cette souplesse permet à l’équipe pédagogique de mettre les jeunes en mouvement, de varier les lieux et les situations d’apprentissage, et de multiplier les usages du numérique dans les cours comme dans les projets collectifs.

Des usages adaptés aux formations

Chaque filière trouve dans la classe mobile un appui concret à ses besoins :
En bac pro GMNF, les élèves travaillent sur la cartographie pour mieux comprendre et gérer les milieux naturels.
En bac pro Aménagements Paysagers, l’outil informatique aide aux chiffrages et à la modélisation des jardins.
En classes de 4e et 3e, la classe mobile accompagne la réflexion sur l’orientation, la préparation à l’outil PIX, et la découverte des métiers.
Pour toutes les classes, elle facilite la création de supports (présentations, rapports de stage, affiches), indispensables à la réussite scolaire et professionnelle.

Un symbole de modernité et d’engagement

La classe mobile illustre la volonté de la MFR de Vallons de Vilaine d’offrir à ses jeunes des équipements modernes et adaptés, au service d’une pédagogie active et professionnalisante. Elle témoigne aussi d’un engagement fort : donner à chacun les moyens de s’outiller pour son avenir, dans un monde où la maîtrise du numérique est essentielle.
Comme le souligne un élève :
« Avec la classe mobile, on se sent à la fois plus libres et mieux accompagnés. On apprend différemment, et ça donne envie d’aller plus loin. »

L’avenir se construit avec des outils d’aujourd’hui

La classe mobile n’est pas qu’un équipement technique : c’est un véritable levier pédagogique qui ouvre des perspectives nouvelles. Elle permet aux jeunes de la MFR de développer à la fois leurs compétences professionnelles et leurs savoirs numériques, dans un cadre moderne et motivant.
À la MFR de Messac, investir dans le matériel, c’est investir dans la réussite et l’avenir de nos élèves.

La restauration à la MFR : un choix de qualité, de proximité et de valeurs
À la MFR de Messac, nous sommes convaincus que bien se nourrir est une condition essentielle pour apprendre, progresser et s’épanouir.

Parce que l’alimentation fait partie intégrante de l’éducation, la restauration n’est pas seulement un service : c’est un projet éducatif et citoyen en cohérence avec nos formations tournées vers la nature et l’environnement.

Des repas locaux, équilibrés et de qualité

Depuis la rentrée de septembre, un changement majeur a été opéré : 70 % des produits cuisinés proviennent désormais de filières locales, responsables et souvent bio. Ce choix est le fruit d’un engagement fort de l’association et de l’équipe éducative, qui ont souhaité répondre aux attentes exprimées par les jeunes.
Chaque jour, ce sont près de 80 repas qui sont préparés avec soin. Le cuisinier élabore des menus équilibrés, variés et savoureux, pour allier plaisir et santé. Le retour des élèves est unanime : le goût, la qualité et l’attention portée aux repas sont plébiscités, en particulier par ceux qui avaient déjà connu le service de restauration les années précédentes.

Une démarche responsable et engagée

Ce changement n’est pas seulement un choix culinaire. Il s’inscrit dans une démarche globale :
Cohérence avec la loi Egalim et les engagements du ministère de l’Agriculture,
Volonté d’agir concrètement pour l’environnement et la santé,
Soutien actif aux producteurs du territoire.
En choisissant de fonctionner en circuit court, la MFR est actrice de l’économie locale et solidaire. Ce modèle valorise les savoir-faire de proximité et fait de chaque repas un acte de cohérence avec nos valeurs éducatives.

Un engagement partagé

Ce projet de restauration a été rendu possible grâce à la mobilisation des administrateurs, de l’équipe éducative, mais aussi grâce au soutien de nos partenaires. Nous remercions particulièrement la mairie de La Noé Blanche pour son appui dans cette démarche ambitieuse et porteuse de sens.
Comme l’exprime un élève :
« On voit la différence tous les jours. Les repas sont meilleurs, plus équilibrés. On sent que la MFR prend soin de nous, et ça donne envie de venir manger ici. »

Manger mieux pour réussir mieux

La restauration à la MFR est donc bien plus qu’un simple temps de repas : c’est un moment éducatif, convivial et citoyen. Elle illustre notre conviction que la qualité de vie au quotidien contribue directement à la réussite scolaire et à la construction de l’avenir.
Ici, bien manger, c’est déjà grandir et apprendre autrement.

La vie scolaire à la MFR : un cadre pour mieux grandir et réussir
À la MFR de Messac, nous croyons qu’un cadre clair et partagé permet à chaque jeune de se construire, de s’engager et de réussir son parcours de formation.


La vie scolaire n’est pas seulement un ensemble de règles : c’est un cadre éducatif pensé pour favoriser l’apprentissage, développer les compétences, mais aussi encourager le respect et la solidarité.

Un fonctionnement structuré et bienveillant

Chaque journée commence par un principe simple : être présent, ponctuel et respectueux de son engagement. Les règles liées aux absences et aux retards assurent un suivi précis et transparent. Ainsi, toute arrivée après 8h30 doit être signalée au secrétariat afin d’informer les familles et de garantir la continuité du travail. Les absences sont gérées en lien constant avec les parents et l’équipe éducative, car l’engagement dans le travail se construit aussi dans cette régularité.
Les exclusions de cours, rares et encadrées, sont l’occasion de responsabiliser les jeunes : un travail est donné et vérifié, et la famille est informée. Chaque situation est analysée, inscrite dans le suivi de l’élève et accompagnée par un adulte référent.

Des règles partagées pour mieux vivre ensemble

La MFR est un lieu de vie collective. Dès la rentrée, chaque classe élabore une charte de vie qui reprend les valeurs essentielles : respect, exemplarité et engagement. Ces chartes, affichées dans les salles, sont des repères concrets pour que chacun puisse trouver sa place et partager des moments d’apprentissage dans un climat serein.
Certaines règles paraissent simples mais sont fondamentales :
  • le vouvoiement envers les adultes,
  • l’interdiction de fumer ou vapoter dans l’établissement,
  • un usage encadré du téléphone portable,
  • le respect des locaux et du matériel.
Toutes participent à un même objectif : permettre à chacun de se concentrer sur son travail et d’évoluer dans un environnement sain.

Une démarche éducative commune

Le suivi des comportements passe par un cahier d’incident et des bilans réguliers. Loin d’être une contrainte, il s’agit d’un outil collectif pour agir avec cohérence, ajuster les pratiques et accompagner chaque jeune dans son évolution. Le tutorat, mis en place chaque semaine, valorise les progrès et aide les élèves à transformer leurs écarts en nouvelles opportunités d’apprentissage.
Comme l’explique un formateur :
« Notre rôle est d’offrir aux jeunes un cadre qui sécurise et qui encourage. Les règles ne sont pas là pour brider, mais pour donner la possibilité d’apprendre ensemble, de se respecter et de se dépasser. »
Et du côté des élèves, le constat est clair :
« Quand on connaît les règles, c’est plus simple de travailler et de vivre avec les autres. On se sent respecté, et ça motive à donner le meilleur. »

Se construire pour demain

La vie scolaire est donc bien plus qu’un règlement intérieur. C’est un véritable parcours éducatif qui aide les jeunes à apprendre, à partager, à se construire et à s’engager dans leur avenir professionnel. En respectant ce cadre, chacun développe non seulement des compétences, mais aussi des valeurs humaines essentielles pour réussir dans les métiers liés à la nature et à l’environnement.
À la MFR, nous sommes convaincus qu’apprendre à vivre ensemble, c’est déjà apprendre à travailler ensemble et à bâtir un avenir durable.

Pourquoi intégrer un Bac Pro GMNF en Première après une Seconde Générale ?
L'orientation scolaire est une étape cruciale dans la vie d'un élève. Après avoir achevé une seconde générale, de nombreuses options s'offrent à lui pour poursuivre ses études.

Traditionnellement, les élèves poursuivent en première et terminale. Toutefois, de nombreux élèves n’y trouvent pas toujours du sens et se posent la question de s’orienter vers une autre formation. Parmi celles-ci, le Bac Professionnel Gestion des Milieux Naturels et de la Faune (GMNF) constitue une alternative souvent méconnue mais pleine de potentialités. Dans cet article, nous allons explorer les raisons qui pourraient inciter un élève à choisir cette voie après une seconde générale.

Une Formation Axée sur la Pratique et la Nature

Le Bac Pro GMNF est une formation professionnelle qui prépare les élèves à travailler dans des secteurs liés à l'environnement, tels que la gestion des espaces naturels, la protection de la faune et de la flore, ou encore l'aménagement du territoire. Contrairement à une orientation plus académique, ce programme offre une approche concrète et pratique des connaissances. Les élèves sont amenés à passer plus de temps sur le terrain, à observer, à analyser, et à agir directement sur leur environnement.

Valorisation des Compétences Techniques

Intégrer un Bac Pro GMNF permet à l'élève de développer des compétences techniques spécifiques et recherchées sur le marché du travail. Que ce soit la maîtrise des outils de cartographie, la connaissance des espèces végétales et animales, ou encore la capacité à mener des actions de préservation de l'environnement, les compétences acquises durant cette formation sont polyvalentes et transposables dans de nombreux domaines professionnels.

Une Voie vers l'Insertion Professionnelle

La demande pour des professionnels qualifiés dans le domaine de l'environnement est en constante augmentation. Les titulaires d'un Bac Pro GMNF ont ainsi de nombreuses opportunités d'emploi dans des structures variées telles que les parcs naturels, les réserves naturelles, les agences de protection de l'environnement, les entreprises d'aménagement du territoire, ou encore les associations de protection de la nature. De plus, cette formation peut également constituer une première étape vers des études supérieures, notamment dans le domaine de l'environnement ou de la gestion des ressources naturelles.

Une Ouverture sur le Monde et la Sensibilisation à l'Environnement

Intégrer un Bac Pro GMNF permet également de développer une conscience environnementale forte et de contribuer activement à la préservation de la biodiversité. Les élèves sont sensibilisés aux enjeux écologiques contemporains et sont encouragés à adopter des comportements responsables vis-à-vis de leur environnement. Cette sensibilisation dépasse le cadre académique pour devenir un véritable engagement citoyen.

Conclusion

En conclusion, choisir d'intégrer un Bac Pro GMNF en Première après une Seconde Générale offre de nombreux avantages tant sur le plan professionnel que personnel. Cette formation permet aux élèves de développer des compétences techniques recherchées, de s'engager dans la préservation de l'environnement, et d'accéder à un large éventail d'opportunités professionnelles. Plus qu'une simple orientation scolaire, c'est un véritable choix d'avenir, en phase avec les enjeux écologiques contemporains.
 

Le Bac Pro Gestion des Milieux Naturels et de la Faune (GMNF) : une formation d’avenir !
Se pose toujours la question des débouchés et de l’insertion professionnelle avant de choisir une formation. Cette question est davantage prégnante lorsqu’il s’agit des métiers de protection de l’environnement. Alors mythe ou réalité ?

 La valeur du diplôme ?

Il s’agit tout d’abord d’une question de perception. Comme tout parent, nous voulons le meilleur pour nos enfants. Un enfant avec un Master est-il meilleur qu’un enfant avec un Bac Pro ? La valeur d’une personne se juge-t-elle à la valeur de son diplôme ?
Une personne avec un Master en gestion de l’environnement a autant d’utilité qu’une personne possédant un bac pro en gestion des milieux naturels et de la faune. Leurs fonctions seront différentes mais ultra-complémentaires.

Le Bac Pro GMNF : l’Homme de terrain qui répare la nature

Chaque année, un grand nombre de jeunes souhaite se former aux métiers de l’environnement en se dirigeant, par exemple, vers une Licence en Protection de l’Environnement. La formation sera sûrement de qualité, mais ne vous trompez pas, vous développerez des capacités de terrain selon les opportunités et expériences futures que vous accumulerez par la suite. Le nombre de personnes diplômées d’une formation supérieur en environnement est très supérieure au nombre d’emploi. Résultat, l’insertion peut être décourageante et demande une forte mobilité !
A l’inverse un jeune titulaire d’un Bac Pro GMNF est l’Homme ou Femme de terrain qui répare la nature. Il a développé des compétences pour intervenir directement au cœur des milieux naturels. Il a la capacité de pré-diagnostiquer les sites avant intervention et de piloter les machines nécessaires à l’entretien et la réhabilitation des milieux. Reconstruire une mare dans son état « naturel » à l’aide d’une mini-pelle, de réalisation de fascine et de plantation demande des compétences spécifiques relevant du Génie Ecologique.
Les employeurs ont de plus en plus besoin aujourd’hui de personnes qui ont ces capacités d’interventions. Le nombre d’offres d’emploi grandit chaque année. D’autre part, la polyvalence des techniciens leur permet de s’adapter à d’autres types d’emplois relativement aisément (animation – paysagisme…).
Une chance ! La poursuite d’étude est possible et même encouragée (Exemple : BTS GPN). Elle permet à un professionnel d’être complet avec un avenir assuré.

Et dans 5 ans ?

L’urgence environnementale nous impose d’agir ! Au niveau de l’employabilité, soyez rassuré. Le Pacte Vert Européen et la Stratégie Nationale pour la Biodiversité prévoit un triplement des effectifs dans les 7 prochaines années et cela se voit déjà du côté des recherches de candidats.

Une hésitation : notre conseil

Suivez votre instinct. Bon nombre de gens qui ont suivi une formation en environnement réalise des parcours en dehors de ce champ d’activité mais occupe des postes à responsabilité car ces collaborateurs sont loin d’être dénués de bonnes valeurs. Bien au contraire. Ils comprennent le monde dans lequel ils vivent et ont le sens de l’engagement.
Des formations du secteur du tertiaire semblent paraître plus sécurisante. Le sont-elles vraiment avec un parcours unique pour un nombre infini de jeunes former chaque année ? A l’inverse, les formations aux métiers de la nature nous permettent de comprendre nos territoires, les logiques d’acteurs et nous dotent d’une capacité d’adaptation au service des autres et de notre cadre de vie.

Vous l’aurez compris, les formations aux métiers de la nature forment des gens heureux.
Alors lancez-vous !

APPRENDRE A NOS ENFANTS A COOPERER !
Le bien-être à l'école!
Une priorité à la MFR Vallons de Vilaine.

En tant que directeur d’un Centre de Formation qui accueille chaque année de nombreux jeunes, la peur du harcèlement est un sujet courant. Les parents sont souvent démunis face à ce problème moderne de notre société et nos établissements peinent à trouver des solutions. J’ai le sentiment que nous recherchons vainement des remèdes curatifs et rarement à mettre en œuvre des actions aux effet durables. Que pouvons-nous faire ?

Dans quel système scolaire évolue nos enfants ?

D’une manière générale l’école dans notre pays favorise les connaissances au détriment des relations aux autres et à soi. Ce fonctionnement sur fond de méritocratie pèse sur le bien-être de certains et sur les performances scolaires. Nous concentrons en France notre action sur l’acquisition de connaissances et l’exercices de capacités intellectuelles comme la logique et la mémorisation. Cette méthode ancestrale sécurise les adultes qui peuvent plus facilement évaluer les élèves. En ressort généralement deux possibilités de sentiments chez l’adulte : la fierté ou l’agacement. Ceci instaure un esprit de compétition au sein de nos écoles.

Remplaçons l’esprit de compétition par la coopération !

En partant de ce constat, j’ai demandé à mon équipe pédagogique de réfléchir à mettre en œuvre des solutions durables. Pour ce faire, nous avons maintenu l’acquisition de connaissances mais nous avons aussi centré nos actions sur l’apprentissage d’autres compétences de plus en plus importante dans le monde d’aujourd’hui et sur lesquelles l’enseignement des mathématiques fait largement l’impasse.
Ainsi, nous nous attachons à développer chez chaque jeune des compétences comportementales et sociales, comme sa capacité à inventer, à prendre des responsabilités, à accepter l’échec, à évoluer en société (développer le sentiment d’appartenance en prenant soin des autres et de soi). Dans chacun de nos projets pédagogiques, nous leur apprenons à coopérer et nous avons constaté qu’à plusieurs nos jeunes vont plus loin.

Quelle organisation au sein de l’établissement ?

Pour relever ce défi, nous avons réalisé un premier travail d’acceptation en analysant nos pratiques. La première décision a été de mettre de côté le planning traditionnel des cours. Nous avons intégré en lieu et place des temps d’apprentissages autour de rencontres diverses (bénévoles, anciens élèves, chefs d’entreprises, syndicalistes…), d’ateliers, de travaux pratiques et de projets collectifs (organisation de spectacles, création d’entreprises…). Pour réussir collectivement et individuellement, nos jeunes savent que cela passe par l’engagement. C’est un critère indispensable pour que nous puissions réussir notre accompagnement.
 
Nous constatons aujourd’hui que nos jeunes sont davantage épanouis. Je peux même dire avec fierté qu’en tant que chef d’établissement, nous sommes une solution au problématique de harcèlement venant de l’extérieur. La petite taille de notre établissement nous a sûrement permis une mise en œuvre plus facile mais elle est surtout passé par une envie de changement de l’équipe pédagogique et éducative.

Envie d'allez plus loin: le harcèlement, c'est quoi !



Option découverte 3ème : métiers mécanicien motocycle - cycle
Venez découvrir les métiers de la mécanique deux roues et déterminer votre orientation

La 4-3eme par alternance est une formation pratique qui permet au jeune de découvrir différents métiers dans de très
nombreux domaines.

Pour aller plus loin, l’élève choisira en début d’année une option découverte parmi les possibilités suivantes :
- découverte métiers soigneur nature
- découverte métiers réparateur motocycle et cycle

L’option « découverte métiers soigneur nature » est une initiation aux métiers de la réparation motocycle et cycle. L’élève
sera initié à la mécanique motocycle et cycle et ira à la rencontre de ce secteur professionnel pour découvrir les attendus
des métiers de la mécanique.




Option découverte 3ème : métiers soigneur nature / soigneur animalier
Orientez vous un métier d'avenir!

La 4-3eme par alternance est une formation pratique qui permet au jeune de découvrir différents métiers dans de très
nombreux domaines. Notre MFR propose en 3ème une option soigneur nature afin de faire découvrir les métiers du soins animaux et de protection de la nature à ses élèves.

Pour aller plus loin, l’élève choisira en début d’année une option découverte parmi les possibilités suivantes :
- découverte métiers soigneur nature
- découverte métiers réparateur motocycle et cycle

L’option « découverte métiers soigneur nature » est une initiation aux métiers de soigneur animalier (faune sauvage).

L’élève sera initié aux soins des animaux sauvages et ira à la rencontre de la faune dans les milieux naturels pour
comprendre les besoins de la nature.
 




Notre parcours de formation en gestion des milieux naturels et de la faune
OBJECTIFS GENERAUX :
Nous avons construit un parcours de formation qui doit permettre à chaque élève :
- D’obtenir son Bac Pro.
- De s’insérer dans la vie professionnelle avec un niveau d’expertise reconnu par les professionnels.
- D’acquérir des val

PLANNING DE L’ANNEE : UN FONCTIONNEMENT PAR THEMES

 Thématiques professionnelles :

Chaque semaine correspond à un thème qui a été défini par les professionnels en gestion des milieux naturels et de la faune ainsi que par l’équipe de formateurs. Un thème est une mise en situation que nous organisons d’une manière progressive tout au long des trois années. (Exemple d’une mise en situation : je réalise un inventaire faunistique.)
Au cœur de ces thématiques professionnelles vont être développées des compétences techniques, comme par exemple, l’entretien du matériel ou bien le soin des animaux…
Notre volonté est de faire progresser notre élève sur 3 niveaux au fil du temps :
> Débutant
> Intermédiaire
> Expert

Temps forts techniques :

A la demande des professionnels, nous animons quatre temps forts techniques spécifiques à notre centre de formation qui favorisent l’expertise et l’employabilité.
- Module de piégeage
- Certificat valant CACES R482 (Mini-Pelle…) (Sous réserve d’un changement de réglementation)
- Module de génie écologique
- Module de soigneur animalier « faune sauvage »

Thématiques généralistes :

Nous organisons aussi des thématiques plus généralistes dans un esprit d’ouverture ou bien selon des besoins spécifiques. Par exemple :
- 2nde 2022-2023 : découverte des arts martiaux
- 1ère 2022-2023 : découverte d’activités nautiques
- Terminale : Parcours Sup
Dans une volonté de renouvellement, certaines thématiques sont remplacées chaque année.

Séjours / Voyages d’études

Séjour : découverte d’un territoire en classe de 2nde sur 2-3 jours. (Exemple : Le Val de Loire)
Voyage d’étude : découverte d’une région française ou d’un pays étranger en terminale.
Les élèves de la classe sont en charge avec leur formateur référent de l’organisation de ce projet. Il s’agit pour le groupe, de développer des compétences entrepreneuriales en portant la responsabilité de leurs choix. Le formateur responsable du groupe accompagne dès la seconde le développement de cette initiative.